D’abord au Laboratoire de Physique et Modélisation des Milieux Condensés (LPMMC) de Grenoble, puis au CNRS, au sein de l’unité GRICAD, centrée sur la recherche sur le numérique
, raconte-t-elle.
Portée par un profond désir de transformation sociale, Françoise a ensuite lié ses deux sujets de prédilection : l’écologie appliquée au numérique. Si le numérique génère des problématiques de santé physique et mentale dans l’excès d’usage, il a également des impacts environnementaux et humains massifs dans de nombreux endroits de notre planète.
Aujourd’hui, elle pilote des projets de sensibilisation au sein de milieux universitaires ou encore auprès du grand public. L’une de ses initiatives phares est la création et l’animation d’un dispositif de mini-conventions citoyennes
.
Leur but ? Permettre aux citoyennes et aux citoyens de s’impliquer dans ces sujets. Une prise de conscience collective est essentielle pour préserver notre santé et notre planète.