Baptiste Pollier pose avec son équipement.
© Jean-Sébastien Faure

Baptiste Pollier : épatant expat'

Quand il commence le football américain à 21 ans, cet ancien handballeur ne se doute certainement pas que le ballon ovale va le conduire outre-Atlantique seulement quelques années plus tard pour jouer devant plus de 20 000 personnes. Et voilà pourtant le Grenoblois désormais domicilié au Canada et membre de l’équipe de Toronto, championne en titre. J’ai l’impression d’être dans un rêve, sourit Baptiste Pollier, de passage quelques mois à Grenoble avant le début de la prochaine saison.

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Par Frédéric Sougey, publié le 28 févr. 2025

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J’ai commencé à jouer avec les Centaures sur le tard, parce que mon père faisait du football américain plus jeune et que je voulais essayer. Après très peu de temps s’est présentée l’opportunité d’intégrer une univer- sité au Canada, à Ottawa, grâce au président du club grenoblois.

Après une petite phase de réflexion, Baptiste a franchi le pas. C’était une occasion unique, l’opportunité d’une vie. Je ne regrette pas. Après trois saisons, j’ai pu passer pro avec Toronto. Son objectif est de se faire une place dans son équipe et de s’imposer dans le championnatcanadien, le deuxième meilleur du monde derrière la prestigieuse NFL.

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