MIG, quel peps !

Trois petites lettres dont le nouvel élan graphique traduit bien la modernisation de la Maison internationale Grenoble (Mig, en abrégé), laquelle abrite une activité que l’on ne soupçonne pas, à savoir porter à la connaissance des Grenobloises et des Grenoblois les cultures du monde, développer un sens de solidarité internationale, être une vitrine des dix-neuf coopérations de la Ville et des initiatives des associations grenobloises, et contribuer à ce que Grenoble soit la plus accueillante pour ses résident-es , explique sa nouvelle responsable Sandrine Trigeassou, qui s’est appuyée sur le bilan du projet d’établissement 2023-2028 pour lui donner davantage de visibilité, et porter son renouveau.

Espace de rencontres

Nous y sommes ! À 15 ans d’existence, l’équipement municipal sort du bois. Au Jardin de Ville, où ses locaux sont implantés dans un bâtiment classé (Bâtiment construit en 1602 qui abrita l’Hôtel du Duc de Lesdiguières, l’Hôtel de Ville puis les bureaux du Procureur.), un nouvel aménagement est en phase d’achèvement, doublé d’une vraie signalétique sur les extérieurs comme dans le hall d’accueil.
L’objectif ?
Oser entrer et faire de la Mig un lieu chaleureux, souligne Sandrine Trigeassou. Ce qui passera (entre autres) par l’agencement du mobilier, utilisant des matériaux simples et de récupération intégrant la réutilisation d’anciennes étagères. Par la création d’un espace de rencontres, où l’on peut échanger, prendre un café comme se connecter au Wifi. Par l’accès facilité car plus lisible à ses ressources documentaires et à ses accompagnements : La Mig est un vrai levier pour les jeunes qui envisagent des mobilités à l’étranger. Elle propose des cours de langues, abrite des permanences consulaires, organise des conférences, des expositions, des animations sur des thématiques culturelles et solidaires telles que l’Italie (en mai) ou la Palestine (en juin).Un lieu généreux qui fait simplement écho à sa vocation : s’ouvrir au monde !